Plongez dans le récit d’une expérience transformatrice pour les jeunes leaders et acteurs du changement.
1. Une ouverture porteuse de sens : écologie intégrale (7-8 juillet)
La Famille de l’Assomption s’est réunie à Paris, avec plus de 120 participants en ligne, pour lancer une réflexion sous le thème : « Un monde d’êtres partageant la maison commune ». Cette première journée a été marquée par la spiritualité de Sainte Marie-Eugénie et une attention particulière portée à l’écologie intégrale : une vision inspirée du pape François, qui relie les dimensions humaines, politiques, environnementales et spirituelles. Elena Lasida a offert une intervention lumineuse sur la fragilité du monde, et sur la manière de le faire fleurir par la gratuité, l’interdépendance et la responsabilité écologique.
2. Justice, paix et action (9 juillet)
La deuxième journée a approfondi le thème de l’écologie intégrale comme moteur de transformation sociale. Sœur Mamaalifar Poreku a lancé un appel fort à écouter « le cri des pauvres » et à s’engager sur les plans politique, social, spirituel et écologique. Des témoignages de la vie quotidienne ont montré que le changement naît des convictions intérieures mais aussi de l’action concrète.
3. Migrations et changement climatique (11 juillet)
Le mercredi a été consacré à l’impact du changement climatique sur les mobilités humaines, à travers deux interventions complémentaires : celle de Jundelle Jalique, guide spirituel, et celle du père Baudouin Ngoa Ya Tshihemba. Le message est clair : « Personne n’est en sécurité quand la maison commune est détruite ». Gaia Mormina a partagé une expérience inspirante d’accueil des migrants au Mexique, nous rappelant que protéger la planète et défendre les personnes déplacées est une seule et même mission.
4. Une vocation prophétique face à la crise (10 juillet)
Le jeudi, dans le Jardin de Grenelle, une eucharistie pour la Création a été célébrée. La philosophe Cécile Renouard a introduit la triple fonction prêtre, prophète, roi : prier, dénoncer l’injustice et prendre soin de la Terre comme un jardinier bienveillant. Elle a présenté six « portes » à franchir pour une vie pleine de sens : du diagnostic partagé à l’action collective, en passant par la conscience de soi, le dialogue, l’écoute mutuelle et la gouvernance participative.
5. Une conclusion solidaire : orientations JPIC (14 juillet)
La dernière journée a été marquée par une table ronde rassemblant les différentes congrégations, qui ont présenté des pistes concrètes pour mettre en œuvre les engagements JPIC, tels que formulés dans le chapitre général 2022‑2024. L’un des axes majeurs est la question migratoire, abordée tant dans sa dimension structurelle que dans sa réalité humaine immédiate.
Cette session #JPIC n’a pas été seulement un espace de réflexion, mais un appel urgent à l’action : depuis les gestes du quotidien jusqu’à la transformation des structures sociales. La dynamique proposée — voir, juger, agir — ne se présente pas comme une suite de modules théoriques, mais comme un appel authentique à l’autonomisation de la jeunesse de l’Assomption et du monde entier.
Mettre en lumière des expériences locales : à travers des publications, des podcasts, des reels ou des vidéos TikTok sur des gestes solidaires ou écologiques.
Rejoindre les initiatives JPIC : dans votre communauté, proposez des projets liés à l’écologie ou à l’accueil des migrants.
Partager votre voix : transformez vos idées en actions concrètes avec des hashtags comme #MaisonCommune #JeunesseJPIC.
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